Auteur : Spencer Johnson
Couverture et illustrations:
Édition: Michel Lafon - 2017 - 105 p. - traduit par Jean-Pascal Bernard
original: Who Moved my Cheese? G.P. Putnam's Sons , 1998
Fables, littérature américaine
En quelques mots: Des souris réagissent différemment au retrait de leur fromage préféré.
+ : métaphore
- : convenu
Thèmes: changement, peur, développement personnel
Parce qu'on me l'a offert, et que je voulais lire quelque chose qui n'était pas un roman.
Oopsie!
Un jour, juste après avoir lu ce livre, j'avais écrit une chronique sur ce dernier. Or, en voulant retourner chercher un passage pour poster mon avis général sur les forums, plutôt que de sélectionner et de copier, une combinaison de touche a plutôt supprimé l'entièreté de la chronique. Malgré des tentatives de revenir en arrière, je n'avais toujours qu'un vide total pour ma chronique, dont j'étais plutôt satisfaite, et que je prévoyais ne publier que lorsque quelqu'un aurait également lu le livre. Et je dois donc changer ce que je vous disais sur un livre qui traite justement du changement. Je ne me souvenais plus de ce que j'avais mis comme thèmes, c'est vous dire! Vaut mieux en rire!!! Du coup, il s'agira plutôt d'une chronique mentionnant ce dont je me souviens avoir mentionné, plutôt que d'une chronique rédigée à chaud.
Ce que j'en avais pensé
Tout d'abord, je me souviens que je commençais la chronique en disant que j'avais déjà lu ce livre, comme j'avais pu le repérer avec les pages comportant des citations sur des fromages, et que je me suis souvenue que je n'avais pas réellement adhéré. Or, le temps passant, comprenant que nos perceptions changent, je me suis dit que je réessayerais le coup tout de même pour voir comment je le recevrais cette fois. Et bien que j'aie encore trouvé cela un peu convenu, j'ai plus apprécié cette nouvelle lecture que le sentiment qu'il m'en reste de la première.
Je ne me souviens plus trop de ce que je disais à chaud, mais je sais que je parlais que je faisais probablement plus de parallèles avec des membres de m'entourage, regardant quels personnages pouvaient correspondre chacun, bien que je savais qu'on avait tous une part des différents personnages en nous, à différents niveaux. Ces parallèles m'ont peut-être aidé à apprécier davantage cette fois.
Aussi, je me souviens que je disais que ce livre pouvait parfois peut-être sembler être une brique pour certains qui, à cause de différentes préoccupations, du fait de ne pas voir de solutions, surtout quand ils lisent des phrases telles que Qui refuse le changement creuse sa propre tombe. Cela peut être écrasant pour certains, à mon avis, et donner l'impression de leur ajouter un boulet à leurs pieds.
J'avais également mentionné que j'avais apprécié la métaphore, et en général, comment le personnage principal évolue, tout comme le style d'écriture. Je disais aussi regretté que ce soit surtout centré sur le personnage principal Baluchon, évacuant ainsi beaucoup Flèche et Flair, même si Polochon reste aussi présent. Cela laisse à penser que ces autres personnages évoluent peu ou ne retirent rien de la situation, donnant une sensation de convenu, que le point central est quelque chose qui va de soi.
*Au moment de mettre sous forme, je rajoute ce paragraphe. Je ne sais plus comment j'avais abordé cela (et surtout, si je l'avais laissé), mais je parlais que des fois, j'ai aussi l'impression que les autres pensent qu'on se refuse au changement, alors que, au fond de nous, nous avons déjà effectué des changements de fromage. C'est votre cas?
Bien sûr, j'avais dû développer beaucoup plus mon avis lors de ma première critique qui m'avait pris beaucoup plus de temps à rédiger que cet avis-ci. J'ai donc l'impression de ne pas aller dans le coeur des choses, surtout que de mémoire, j'avais étayé davantage sur la métaphore et le style, les choses qui m'ont le plus plu.
***Également, suite à une conversation et mon survol du livre qui m'est revenu pour retrouver une citation (que vous vous en doutez, je n'ai pas retrouvée), je rajoute que bien qu'on tende plus vers un ou l'autre des personnages, on a tous une part de chacun, selon les différentes sphères de notre vie. Et il ne faut jamais oublier que les caractéristiques de certains ressortent parfois lorsqu'ils sont en comparaison avec d'autres. Aussi, en cherchant la citation, j'ai revu Que ferais-tu si tu n'avais pas peur? qui m'a rappelé que je parlais beaucoup plus de la peur du changement dans ma chronique à chaud, car cette phrase, de mémoire, m'avait accroché. Elle est presque comme un mantra dans le récit, et a donc une incidence particulière pour l'un des personnages, qui malgré sa volonté de changer semble être beaucoup freiné par cette peur.
Quoiqu'il en soit, c'est une histoire qui, même si elle demeure convenue, amène à discussion sur le changement, la peur de celui-ci. Si vous vous décidez à la lire, je vous invite à prendre le temps de faire des parallèles avec votre entourage, ce qui a des chances de vous permettre de vous en imprégner davantage, **tout comme de bien réfléchir sur vos réactions face aux différents changements, et de comment certaines facettes (i.e. certains personnages) ressortent selon les sphères de votre vie. Il y a des situations où il est plus facile de changer de fromage préféré!
****Donc, même si je considère que le fait d'évoluer malgré nos appréhensions est quelque chose qui, même si on ne le fait pas tous au même rythme, va de soi, il n'en demeure pas moins que comme toute métaphore est sujette à interprétation, ce livre est donc sujet à interprétation, menant ainsi à la réflexion et la discussion. Bref, je relis pour publier, et j'ai vraiment l'impression que cette critique n'est pas à la hauteur de ce que j'ai pensé, donc si certains savent comment récupérer l'originale par miracle, mentionnez-le! (Vous avez probablement compris que pour celle-ci, puisque j'ai copié mon texte sur mon souvenir, j'ai rajouté les paragraphes/passages avec * au moment de mettre en forme/de me relire avant de publier!) Mais j'espère tout de même vous avoir exprimé les points essentiels, et vous amenez, que vous le lisiez ou non, à réfléchir sur la peur du changement.
Ce que j'en avais pensé
Tout d'abord, je me souviens que je commençais la chronique en disant que j'avais déjà lu ce livre, comme j'avais pu le repérer avec les pages comportant des citations sur des fromages, et que je me suis souvenue que je n'avais pas réellement adhéré. Or, le temps passant, comprenant que nos perceptions changent, je me suis dit que je réessayerais le coup tout de même pour voir comment je le recevrais cette fois. Et bien que j'aie encore trouvé cela un peu convenu, j'ai plus apprécié cette nouvelle lecture que le sentiment qu'il m'en reste de la première.
Je ne me souviens plus trop de ce que je disais à chaud, mais je sais que je parlais que je faisais probablement plus de parallèles avec des membres de m'entourage, regardant quels personnages pouvaient correspondre chacun, bien que je savais qu'on avait tous une part des différents personnages en nous, à différents niveaux. Ces parallèles m'ont peut-être aidé à apprécier davantage cette fois.
Aussi, je me souviens que je disais que ce livre pouvait parfois peut-être sembler être une brique pour certains qui, à cause de différentes préoccupations, du fait de ne pas voir de solutions, surtout quand ils lisent des phrases telles que Qui refuse le changement creuse sa propre tombe. Cela peut être écrasant pour certains, à mon avis, et donner l'impression de leur ajouter un boulet à leurs pieds.
J'avais également mentionné que j'avais apprécié la métaphore, et en général, comment le personnage principal évolue, tout comme le style d'écriture. Je disais aussi regretté que ce soit surtout centré sur le personnage principal Baluchon, évacuant ainsi beaucoup Flèche et Flair, même si Polochon reste aussi présent. Cela laisse à penser que ces autres personnages évoluent peu ou ne retirent rien de la situation, donnant une sensation de convenu, que le point central est quelque chose qui va de soi.
*Au moment de mettre sous forme, je rajoute ce paragraphe. Je ne sais plus comment j'avais abordé cela (et surtout, si je l'avais laissé), mais je parlais que des fois, j'ai aussi l'impression que les autres pensent qu'on se refuse au changement, alors que, au fond de nous, nous avons déjà effectué des changements de fromage. C'est votre cas?
Bien sûr, j'avais dû développer beaucoup plus mon avis lors de ma première critique qui m'avait pris beaucoup plus de temps à rédiger que cet avis-ci. J'ai donc l'impression de ne pas aller dans le coeur des choses, surtout que de mémoire, j'avais étayé davantage sur la métaphore et le style, les choses qui m'ont le plus plu.
***Également, suite à une conversation et mon survol du livre qui m'est revenu pour retrouver une citation (que vous vous en doutez, je n'ai pas retrouvée), je rajoute que bien qu'on tende plus vers un ou l'autre des personnages, on a tous une part de chacun, selon les différentes sphères de notre vie. Et il ne faut jamais oublier que les caractéristiques de certains ressortent parfois lorsqu'ils sont en comparaison avec d'autres. Aussi, en cherchant la citation, j'ai revu Que ferais-tu si tu n'avais pas peur? qui m'a rappelé que je parlais beaucoup plus de la peur du changement dans ma chronique à chaud, car cette phrase, de mémoire, m'avait accroché. Elle est presque comme un mantra dans le récit, et a donc une incidence particulière pour l'un des personnages, qui malgré sa volonté de changer semble être beaucoup freiné par cette peur.
Quoiqu'il en soit, c'est une histoire qui, même si elle demeure convenue, amène à discussion sur le changement, la peur de celui-ci. Si vous vous décidez à la lire, je vous invite à prendre le temps de faire des parallèles avec votre entourage, ce qui a des chances de vous permettre de vous en imprégner davantage, **tout comme de bien réfléchir sur vos réactions face aux différents changements, et de comment certaines facettes (i.e. certains personnages) ressortent selon les sphères de votre vie. Il y a des situations où il est plus facile de changer de fromage préféré!
****Donc, même si je considère que le fait d'évoluer malgré nos appréhensions est quelque chose qui, même si on ne le fait pas tous au même rythme, va de soi, il n'en demeure pas moins que comme toute métaphore est sujette à interprétation, ce livre est donc sujet à interprétation, menant ainsi à la réflexion et la discussion. Bref, je relis pour publier, et j'ai vraiment l'impression que cette critique n'est pas à la hauteur de ce que j'ai pensé, donc si certains savent comment récupérer l'originale par miracle, mentionnez-le! (Vous avez probablement compris que pour celle-ci, puisque j'ai copié mon texte sur mon souvenir, j'ai rajouté les paragraphes/passages avec * au moment de mettre en forme/de me relire avant de publier!) Mais j'espère tout de même vous avoir exprimé les points essentiels, et vous amenez, que vous le lisiez ou non, à réfléchir sur la peur du changement.
Quelques citations
Parce que je participe à quelques challenges