Ma plume

Quelques-uns de mes écrits, que ce soit de courtes nouvelles, des contes ou des poèmes! Et tout ceci se trouve ici

Un léger aperçu auparavant:

Je mets mon coeur sur papier
Pour que soient gravées
Toutes mes émotions dans l'éternité

L'orpheline aux origines mystérieuses
[...]Puisqu’elle se demandait qui pouvait bien être cette mystérieuse personne, Émily qui, malgré son mutisme, trouvait des façons originales de s’exprimer dû à son esprit vif, étendit lentement son petit bras et pointa vers le chariot en regardant interrogativement sa mère. S’apercevant que ni sa mère, ni son père ne remarquait son bras tendu vers le chariot, car ils étaient absorbés dans leur conversation, elle, habituellement de nature très calme, commença à s’agiter. Après quelques secondes de grouillement, voyant que ses parents ne s’en rendaient toujours pas compte, fâchée, elle se leva très brusquement.

       Alors, Stéphane, venant tout juste de s’apercevoir du comportement inhabituel de sa fille, la prit par le bras, la leva dans les airs et commença à la frapper partout sur son  petit corps fragile tout en la secouant. Philippe, Alexis et Jonathan, tous trois surpris que leur père puisse commettre un tel acte, assistaient de loin à la scène. Les garçons criaient de toutes leurs forces à leur père de lâcher Émily, mais ce dernier était trop occupé à faire mal et crier des choses du genre « C’est quoi ce comportement-là ? Hein! … envoye dit… » à sa toute petite fille. Jacynthe qui, avec sa capacité de penser et d’agir rapidement, savait que Vincent serait trop sensible face à un tel geste, s’était dépêché d’aller le chercher aux champs pour le faire entrer à l’intérieur. Elle avait agit de façon intelligente, car les coups portés se montrèrent de plus en plus brutaux et empreints d’une rage inavouée et refoulée à l’intérieur.



      Après un court instant, on entendit subitement un cri perçant qui fendit l’air d'un coup sec : madame Lajoie et Vincent accoururent à l’extérieur. Ils virent Stéphane parti travailler au loin dans les champs et Émily, étendue par terre, entourée par ses frères qui tentaient vainement de la consoler. [...]
[...]


Rompant le charme, Émily demanda de sa voix déjà moins hésitante:
     « Qui est la jeune fille que j’ai vue passer avec nos voisins Deschênes  tout à l’heure? »
Jacynthe dit à sa fille qu’elle allait aller voir les Deschênes pour découvrir l’identité de cette jeune fille  et chargea Philippe de s'occuper de ses frères et de sa sœur. [...]
[...]
Noircir des pages

Noircir des pages
À n’en plus finir
Les noircir d’espoir
Se libérer du désespoir
À l’aide d’images
Qui semblent éblouir
[...]

La panne d'horreur
[...]
À travers les essuie-glace, je tentai d'observer le ciel. Les flocons tombaient maintenant plus vite que la pluie, pendant un orage électrique et je n'y voyais plus grand chose. Ce que je réussis à voir est indescriptible et me fit dresser le poil sur les bras et si ma moustache Movembre l'aurait pu,  elle l'aurait fait. Je vis un objet volant non identifié et me refusai à croire que des extra-terrestres prenaient d'assaut la planète. Pas que je ne croyais pas qu'il existait de la vie ailleurs que sur Terre, mais qu'il me semblait irréaliste que des petits bonhommes verts se déplacent plus rapidement que la vitesse de la lumière ou qu'ils aient trouvé les moyens de survivre plusieurs années en traversant différentes galaxies. L'ovni semblait larguer des gens - oui, c'était ce qu'il me semblait grâce à la Lune qui réfléchissait les rayons du soleil sur la neige. Ces gens explosaient et se transformaient en des semblants de comètes qui venaient s'écraser et faire trembler la Terre. Désolé si je ne peux vous décrire l'horreur de cette fusée aplatie qui semblait avoir également une queue d'avion, mais je ne suis pas le meilleur orateur et ne trouve pas les mots pour décrire le peu que j'entrevoyais à travers les flocons. J'espérais rejoindre bientôt ma copine pour la réconforter et me demandais où nous pourrions nous réfugier en sécurité. Je n'ignorais pas que je devais faire vite puisque le pont que je venais tout juste de traverser venait de s'effondrer dans un fracas infernal
[...[

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