mercredi 28 février 2018

Devenir déesse

La déesse des mouches à feu par Geneviève Petersen
Littérature québécoise - littérature québécoise (canadienne)
Le Quartanier, 2010, 349 pages
+ :      -:    Thèmes: drogue, adolescence, gang

Présentation: Catherine vit ses premières fois dans les années 90.

J'ai décidé de relire ce titre qui avait manqué son rendez-vous lors de ma première lecture. À l'époque, j'avais pensé que je l'avais lu trop près de Christiane F. qui est d'ailleurs cité dans ce roman et j'avais l'impression de vivre une histoire qui se répétait.


Comme je n'ai pas relu Moi, Christiane F, 13 ans, droguée et prostituée avant de relire ce titre, je n'ai pas eu cette sensation cette fois-ci et j'ai donc plus apprécié même si ce ne fut pas le coup de cœur que certaines ont eu.

Au départ, je trouvais pour je ne sais plus quelle raison que le langage me paraissait cru, vulgaire, too much. Heureusement, même si on sent la révolte, le langage par la suite m'a paru plus abouti.

J'ai aussi apprécié être transportée à cette époque avec des références à la musique et aux endroits que fréquentaient sans doute les jeunes à cette époque-là.

Donc, même si ce fut loin d'être un coup de cœur, j'ai apprécié redécouvrir cette histoire que je vous conseille, mais où vous ne devez pas avoir un souvenir de lecture en tête où la drogue et la révolte adolescente sont centraux dans l'histoire.


Parce que je participe à quelques challenges






mardi 27 février 2018

L'apocalypse de l'étoile

A.N.G.E., tome 7: Absinthium par Anne Robillard
Fantastique - Espionnage - littérature québécoise (canadienne)
Editions Wellan, 2010, 349 pages
+ : ordinateur -: passage court Thèmes: apocalypse, reptiliens, bible

Présentation: Les personnages se relèvent du tremblement de terre.

Oh là là! Dur dur de se replonger dans cette saga après tant d'années. Il y a tellement de personnages que c'est dur de retrouver ses repères, surtout que ceux-ci sont éparpillés ici et là sur la planète et qu'on les retrouve à tour de rôle.


J'ai un vague souvenir du ressenti des tomes précédents. Et je doute que celui-ci soit le plus friand en action. Cependant, plusieurs informations nous sont dévoilées et l'intrigue est plutôt présente puisque celle-ci garde notre attention: on se demande comment la Bible écrit son histoire, la réécrit et c'est intéressant de voir des points de vue imaginaires avec toutes ces castes de reptiliens.

Ce fut aussi un plaisir de retrouver Cass! Excepté notre ordinateur, j'ai trouvé qu'on ne voyait pas assez les personnages à cause de la construction en alternance et du nombre de personnages.

Je n'attendrai pas aussi longtemps pour lire le tome 8, j'espère, afin de ne pas perdre le fil de l'Histoire que j'ai commencé à retrouver. Une agréable lecture.


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lundi 26 février 2018

Scarlett, Scarlett...

Autant en emporte le vent, tome 2 par Margaret Mitchell (Gone with the Wind - 1936)
Classique - littérature américaine
Le Livre de Poche, 1970, 696 pages
+ : conscience -: Scarlett Thèmes: Sécession, amour, famille, plantations

Présentation: Scarlett se relève de la guerre et Ashley occupe son esprit

Après avoir lu le premier tome il y a quelques années, je me suis enfin lancée dans ce second tome. J'ai eu de la difficulté à me situer au début, mais le sentiment a été de courte durée, et ai rapidement trouvé mes repères.


On se trouve après l'incendie, et on est donc en période de reconstruction. Scarlett m'a paru toujours aussi mesquine et use donc de subterfuges pour parvenir à ses fins, même si certains voient clairement dans son jeu.

J'ai trouvé qu'on avait plusieurs passages où l'auteure se rapprochait plus de l'essai que du roman, puisqu'à travers les événements, on voyait beaucoup ses réflexions. J'ai cependant trouvé que les événements mettant en scène le Ku Klux Klan avaient été évacués parfois rapidement: peut-être l'auteure avait-elle peur de donner le fond de sa pensée, de dénaturer le Ku Klux Klan et ce que cela représentait réellement lors de la Sécession.

J'aurais aimé que certains personnages prennent plus de place dans ce récit, par exemple Mélanie, et qu'on ressente davantage les événements qui se passaient à Tara, que cela soit plus abouti que les informations qui parvenaient à Scarlett.

Mais, même si Scarlett a un fichu caractère, on ne peut qu'embarquer avec elle dans l'histoire et apprécié cette fresque. Maintenant que la lecture est terminée, il faut revoir le film!


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dimanche 25 février 2018

Dans l'univers de La Saline

L'Amérindienne par Louise Lacoursière
Roman historique - littérature québécoise (canadienne)
Libre Expression, 2017, 356 pages
+ : "histoire" -: "Saline" Thèmes: Amérindiens, amitié, amour, relations

Présentation: Judy chez les Abénakis, ou pas!

J'ai apprécié cette histoire. J'ai cependant trouvé que certaines questions demeuraient en suspens: je sais que ce livre reprenait des personnages de La Saline, mais l'auteure m'avait affirmé que ce titre pouvait se lire sans avoir lu la saga.

Oui, on peut lire indépendamment, car les principales intrigues ont leurs réponses. Mais on se questionne quelquefois à savoir ce qui unit des personnages, ce qui s'est passé entièrement car on a des bribes. Bref, je conseillerais donc de lire La Saline auparavant même si ce titre peut se lire indépendamment.

Ce qui fait que j'ai apprécié la lecture est le fait que j'ai apprécié les personnages au cœur de ce roman: ceux-ci m'ont paru bien définis, sans être caricaturaux. De plus, j'ai aimé être transportée dans l'époque où l'histoire se situe. J'ai aussi apprécié que l'auteure donne les détails historiques intégrés à l'histoire, ce qui fait qu'on ne ressent pas un étalage de connaissances historiques, même si elles sont bien là, mais elles servent à bon escient l'histoire.

J'ai aussi bien apprécié dans ce récit voir la différence des convenances chez les Amérindiens et les Européens, qui remet en perspective notre façon de voir les choses, de les faire. Je pense entre autres à une scène où une Amérindienne réprimande un enfant qui n'est pas le sien et que Judy est outrée de cela puisqu'à l'époque, chez les Européens, on ne devait s'occuper que de ses plate-bandes. Pourtant, j'ai souvent entendu que ça prend tout un village pour élever un enfant. De plus, je me suis aussi demandée si on a trop misé sur l'écriture comme preuve de civilisation, alors que bien des connaissances peuvent avoir été transmises oralement, et perdues dans la nuit des temps puisqu'on ne savait pas écouter ceux qui les portaient...

Mais pour revenir au récit, comme je l'ai dit, j'ai apprécié cette première découverte de l'auteure, et comme l'Histoire me plaît, je découvrirai sans doute d'autres romans historiques de cette auteure.


Un passage au hasard (je le feuillette là, et je tombe sur ce passage tout à fait par hasard qui résume un peu l'opinion des convenances)
Prenant conscience du fossé qui la séparait de sa colocataire, Judy se garda de partager les détails de son aventure avec Simon. [...] Judy fut désarçonnée par l'inflexible morale de son amie.
À bien y penser, les principes de Catherine étaient conformes à ceux de son entourage. C'est elle qui faisait figure d'exception.

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Lu en 2017, ne rentre donc pas dans les challenges! Mais je tenais à rédiger une chronique sur ce titre après réflexion. 

dimanche 4 février 2018

Le retour du rival

Les Hauts de Hurlevent - tome 2 par Yann et Edith (adaptation de l'œuvre d'Emily Brontë)
Bande-dessinée classique - Ex-Libris, 2010, 48 pages
+ : Images, ambiance -: romance Thèmes: rivalité, amour, vengeance

Présentation: Heathcliff revient dans la vie de Cathy.

Comme j'avais apprécié donné une seconde chance aux Hauts de Hurlevent grâce au premier tome de cette bande-dessinée, j'ai fait venir le second.
Cependant, j'ai moins apprécié ce second tome que le premier, mais ce n'est pas à cause de l'adaptation, mais bien à cause de l'histoire.
J'ai trouvé qu'on ne faisait presque sentir que de la honte, de la vengeance, des mauvais caractères. De plus, j'ai eu l'impression que l'histoire se répétait avec leurs enfants, même si je vois bien que les parents, en quelque sorte, exercent un contrôle et répètent ce qu'ils ont vu.
Malgré tout, les dessins sont toujours aussi intéressants et servent l'histoire. Donc, je ne regrette pas de m'être lancée dans ce second tome.

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 #29: BD tirée d'un roman

La vérité : un rapport aux gens

La vérité sur l'affaire Harry Québert par Joël Dicker
Roman, thriller - littérature suisse
Éditions de Fallois, 2012, 665 pages
+ : addictif -: Nola Thèmes: amour, «pédophilie», meurtre, écriture

Présentation: Le corps de Nola est retrouvé après environ 30 ans.

Sans avoir eu l'engouement que certains ont eu pour ce livre, j'ai tout de même apprécié ma lecture, qui ne me laissera pas un souvenir si impérissable. Pour faire cet article, il a même fallu que j'aille fouiller pour trouver le nom de Nola.

D'ailleurs, Nola est un peu une des raisons pour laquelle je n'ai pas eu le même engouement que certains puisque je n'ai pas réussi à m'attacher à cette personne mystérieusement disparue, qu'on retrouve morte dès le début du récit.

J'ai tout de même grandement apprécié l'écriture de cet auteur, la construction en alternance, très fluide, ce qui rend le récit addictif. Même si un passage m'a mis la puce à l'oreille, je trouvais que ce serait probablement cliché, et n'arrivait pas à découvrir le mobile qui aurait mener au meurtre. D'ailleurs, si j'ai vraiment compris, je l'ai trouvé un peu boboche...

De plus, c'est long avant qu'on arrive à totalement innocenter certains personnages, ce qui nous fait encore plus questionner sur le mobile, sur ce qui s'est passé dans l'enquête à l'époque. On se questionne sur ce qu'était réellement cette liaison entre Harry et Nola, liaison inconvenable, presqu'à la limite de la pédophilie, vue la différence d'âge. Quel était le véritable rapport entre tous ses gens à l'époque?

J'ai aussi apprécié le fait qu'il y ait des conseils d'écriture à chaque début de chapitre, parfaitement intégré à l'histoire à mon avis, sans que l'auteur donne l'impression de faire étalage de ses connaissances.

Même si je ne regrette pas de l'avoir terminé, je ne dirais pas que c'est un mauvais livre, puisque j'ai passé un bon moment en le lisant.


Quelques citations
certains voudront vous faire croire que le livre est un rapport aux mots, mais c'est faux: il s'agit en fait d'un rapport aux gens
Apprenez à aimer vos échecs, Marcus, car ce sont eux qui vous bâtiront. Ce sont vos échecs qui donneront toute leur saveur à vos victoires.
Marcus, savez-vous quel est le seul moyen de mesurer combien vous aimez quelqu'un ?
- Non.
- C'est de le perdre
Un bon livre Marcus ne se mesure pas à ses derniers mots uniquement, mais à l'effet collectif de tous les mots qui les ont précédés. Environ une demi seconde après avoir terminé votre livre, après en avoir lu le dernier mot, le lecteur doit se sentir envahi d'un sentiment puissant; pendant un instant, il ne doit plus penser qu'à tout ce qu'il vient de lire, regarder la couverture et sourire avec une pointe de tristesse parce que tous les personnages vont lui manquer.Un bon livre, Marcus, est un livre que l'on regrette d'avoir terminé. 

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dimanche 14 janvier 2018

Une belle adaptation

Les Hauts de Hurlevent - tome 1 par Yann et Edith (adaptation de l'œuvre d'Emily Brontë)
Bande-dessinée classique - Ex-Libris, 2009, 45 pages
+ : Images, ambiance -: romance Thèmes: rivalité, amour, enfance

Présentation: Heathcliff chamboule la vie des jeunes Earnshaw.

J'ai apprécié donné une seconde chance à cette œuvre d'Emily Brontë grâce à cette bande-dessinée.
Oui, je n'avais pas apprécié le texte d'Emily Brontë au premier abord lorsque je l'avais lu il y a quelques années. Je n'accrochais pas. Je crois que je l'avais lu trop vite, ou pas au moment.
Quoiqu'il en soit, avec cette bande-dessinée adaptée par Yann et Edith, j'ai pu apprécié l'histoire. Les dessins sont sombres, mais cela colle tout à fait à l'ambiance du roman.
J'ai aussi apprécié l'évolution de l'histoire, qui nous fait tout de même réfléchir sur les préjugés de la pauvreté, et ai dévoré cette BD. Avec le recul, je crois que les personnages demeurent toutefois un peu caricaturaux sur leurs principaux défauts. D'ailleurs, Catherine m'a un peu agacé.
N'empêche, je regrette que la bibliothèque n'ait pas le tome 2 pour poursuivre l'aventure. Bref, une deuxième chance qui fut réussie.

Parce que je participe à quelques challenges



Bilan 2017, courts avis et prévision 2018

Voilà, en novembre, grâce à Québec en novembre, j'avais repris le blog! Mais, ça s'est grandement atténué en décembre...

N'empêche, inactive sur le blog ne veut pas dire que j'ai été inactive au niveau des lectures, car en regardant ce que j'avais lu dans l'année, j'ai réalisé que j'avais mis le nez dans 33 livres de fiction qui n'ont contenu que 2 abandons, 2 BDs et un livre de théâtre contenant 2 pièces. Et cela, c'est sans compter tous les essais que j'ai pris souvent plaisir à lire, une quinzaine de livres. Bref, une année productive au niveau des lectures.

Donc, je souhaite poursuivre sur ma lancée en 2018. Et comme je ne sais résister, il y a certaines motivations auxquelles je me suis inscrite. Donc, outre les 3 challenges que j'organise, je participe également aux challenges suivants: Je compte mes pages (j'ai prévu de 10000 à 20000 pour les genres qui compte dans le challenge), Teacher's favorite Book, Big LA, New Pal, Arsène Lupin, BD 2018, Littérature de l'imaginaire, Laurent Gaudé, Le tour du monde en 8 ans, Bougon Macquart, Poésie, Destins de femmes, Nobel, Club lecture de babelio. Cela a déjà été plus catastrophique au niveau de la quantité! Et pour les curieux, ceux que j'organise sont La face cachée des Disney, La conscience du cœur et Deuxième chance: retenter le coup. D'ailleurs, pour celui de Disney, j'organise aussi une LC sur Les chroniques de Narnia: Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique pour le 20 mars, et vous êtes les bienvenus. Je veux bien sûr également continuer à lire des essais et des beaux-livres!

Je veux aussi réussir à trouver un équilibre entre les forums et les blogs, parce que côté blog, j'ai très peu passé sur les vôtres, et j'aime bien voir vos billets autres que littéraires et vos avis sur les titres que j'ai lus. J'aime aussi parfois les voir sur des titres qui me font envie. Bref, trouver un équilibre tout en réduisant le temps écran hors-boulot: ce ne sera pas aisé, mais c'est faisable!

Aussi, en décembre, j'ai terminé certains titres dont je veux vous glisser un mot dès maintenant puisque je tiens à vous en parler, mais que je ne les chroniquerai pas individuellement.

En ce qui concerne L'étrange vie de Nobody Owens de Neil Gaiman, sans avoir trouvé cela mauvais, je suis loin d'avoir été aussi enthousiaste que certains l'ont été. Je crois qu'il manquait un fil de transition entre les différentes parties. Aussi, j'ai trouvé que les créatures étaient toutes douces, gentilles, et que cela enlevait de la profondeur, et que à la longue, même si des méchants apparaissaient, qu'on tournait un peu en rond. N'empêche que malgré ces défauts, j'avais tout de même réussi à passer un bon moment.

Pour Purgatoire des innocents de Karine Giebel, j'ai eu de la difficulté avec le style que j'ai trouvé haché, saccadé parfois, et aussi trop d'expressions françaises qui me semblaient détonner avec le ton de la narration. Aussi, lorsqu'on a tous les éléments pour comprendre ce qui se passe, je n'ai pas trouvé que le rythme s'accélérait pour nous mener au dénouement, j'ai trouvé que cela ralentissait plutôt et que ça n'apportait rien de plus à la situation de huis clos. Mais, c'était ma première lecture de l'auteure, et j'ai tout de même le goût de découvrir d'autres titres.

Pour Sfumato de Xavier Durringer, j'ai trouvé qu'on restait un peu derrière le brouillard de l'histoire. N'empêche, ceux qui aime l'art, le mystère de la religion, l'auteur présente à travers un personnage un point de vue sans qu'on ait l'impression qu'il fasse, et on ne peut que se questionner sur la part de vérité de ce qui est avancé, supposé.

Pour Le voyageur sans bagages de Jean Anouilh, j'ai grandement apprécié découvrir ce dramaturge avec cette pièce et Le bal des voleurs. J'ai aimé voir le questionnement qu'on se posait sur ce personnage amnésique, sur sa volonté de retrouver son identité, son passé.

Pour Winter Storms d'Elin Hilderbrand, même si c'était la fin d'une trilogie dont je n'avais pas lu les tomes précédents, j'ai apprécié retrouver l'univers dans lequel l'auteure campe ses histoires, et la facilité dans ce tome qu'on puisse embarquer dans l'histoire.

Pour Les fautes du passé de Barbara Delinsky, j'ai trouvé que le dénouement tombait un peu trop dans la facilité et que le roman aurait pu être plus court. Pour La pâle figure de Philip Kerr, j'avais eu beaucoup de difficulté avec le premier opus de La trilogie berlinoise, auquel j'avais donné une deuxième chance qui avait mieux passé. J'ai plus apprécié ce second opus, mais je ne crois pas qu'il m'en restera un souvenir impérissable.


Donc, je dirais qu'en ce début 2018, les titres de 2017 que je considère qui m'ont le plus marqué sont Fille à vendre de Dïana Bélice, La fois où j'ai suivi les flèches jaunes d'Amélie Dubois, Ceux qui restent Marie Laberge, Pour que tienne la terre de Dominique Demers, Une carte sans légende de Pascale Gingras, Le voyageur sans bagage de Jean Anouilh, J'ai serré la main du diable de Roméo Dallaire. Bref, excepté Anouilh, c'est de la littérature québécoise! Aussi, je ne sais plus si je l'avais lu en 2016 ou 2017, mais j'avais aussi apprécié 5 outils de l'épanouissement. Et même si j'ai eu des abandons, il n'y a rien que je vous dirais qu'il ne faut pas découvrir. Après tout, un de ces abandons est Notre-Dame-de-Paris.

Voilà, je vous souhaite une année 2018 qui sera formidable!

Membres, bienvenue!