dimanche 17 novembre 2019

Souvenirs de lecture québécoise

Coucou! Le temps ayant été utilisé pour autre chose, j'ai décidé de ne pas rédiger d'articles individuels pour les titres suivants, mais je tenais tout de même à vous en glisser un mot! Ces lectures ont été faites au cours de l'année et voici donc mes souvenirs sur celles-ci.

Pour Au 5e de MP Boisvert, c'était un peu déstabilisant au début puisque c'est une construction roman/près du théâtre, donc, la construction est non conformiste, ce qui va avec les personnages et j'avais apprécié cette histoire.

Pour Chroniques birmanes de Guy Delisle, je crois que j'avais moins apprécié que Chroniques de Jérusalem, même si je me souviens que j'aimais bien découvrir ce coin et les réflexions que l'auteur glissait en comparaison avec notre société occidentale.

Pour Ma belle blessure de Martin Clavet, j'avais repéré à cause de la couverture. Et je n'ai aucunement regretté ma lecture où le style est très direct et vient nous bouleverser encore plus sur les conséquences de l'intimidation. Je l'avais emprunté numériquement et noté des citations, mais le temps était limité et lorsque j'ai réemprunté, j'avais perdu les passages que j'avais surlignés, ce qui fait que pour l'instant, je limite cela à mon souvenir de lecture. Mais le style convenait parfaitement au récit, et peut-être qu'un jour je l'achèterai pour le relire et vous aurai une chronique plus précise avec citation, montrant que la couverture est encore plus parlante.

Pour Parfum de poussière de Rawi Hage, c'est probablement un exemple qu'il faut lire le titre au bon moment. J'avais commencé à le lire, étant emballée, mais je l'avais mis en pause pour des lectures que je voulais mettre en priorité. Or, lorsque je l'ai repris, même si je voyais toujours le style de qualité, j'accrochais beaucoup moins. Même si l'intrigue m'a semblé bien construite, j'avais l'impression qu'un voile de poussière mettait un écran sur ma lecture.

Pour Quand l'intuition trace la route de Danièle Henkel, même si je vois que Mme Henkel faisait bien de suivre son intuition, le fait qu'on voit qu'elle avait un bon réseau près d'elle comprenant de nombreuses ressources donne un sentiment de facilité face à son succès, surtout quand on sait que ce n'est pas tout le monde qui a accès à de tels réseaux. Mais j'ai apprécié voir le côté humble qui se dégage de ce pan de vie.

Pour Tout mon temps pour toi de Maxime Landry, ma lecture était teintée par la très mauvaise note qui lui était accordée que je ne comprenais pas. Bien sûr, ce n'est pas le titre où la fin est surprenante et le récit le plus enlevant, car on devine bien dès le départ, mais cela pour moi ne sont pas des raisons pour le considérer comme nul. Pour ma part, j'avais bien apprécié la construction et la lecture en lien avec le temps qui passe.

Voilà, pour les lectures québécoises pour lesquelles j'ai décidé de vous en glisser un mot et qui n'avaient pas eu de critiques au cours de l'année.

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